The CULT Committee agreed before that a peaceful co-existence of digital and traditional books need to be achieved in order that the community of education in EU gets benefit from digital era.In this session the conversation was related to the most efficient way that this purpose could be fulfilled.
More specifically,Mr Lafaras proposed a collaboration between the field of education in EU and the enterprises of the private section.Not only this cooperation would assist at the technological progress of institutions of EU but also the connection between the students and the reality of enterprises would give them the appropriate grounds in order to get prepared for the demanding job market in the future.Because of this proposal,the tension between some of the participants out of the blue was increased.To give an example,Ms Liaropoulou expressed the opinion that public education cannot be compatible with the private section as usually they have opposite purposes.Public education belongs to everyone when private field is from its origin for each one on his own.Taking into consideration this she expressed fears about racism in education.Then,the supporters of this collaboration felt insulted and responded that they also target on the equality of all students in EU and their aid is common.
When everybody calmed down,MEPs started to discuss about how digitization could affect in dealing with the huge problem of children with dyslexia and generally with learning difficulties.It has been proved that children who have difficulties to learn with the traditional way understand more with the power of image.Besides that, applications can be created which would help students in a more specific way and in different fields,such as mathematics,language of informatics.
Now the Committee has to find solutions to achieve the practical collaboration between the community of education and the private section.
Thanos Andriopoulos, Journalist of CULT, EU Focus
(French text bellow)
Le comité CULT a été d’accord avec les idées susmentionnées qu’une coexistence pacifique des livres numériques et traditionals est nécessaire pour que l’éducation de l’ UE soit bénefique de l’ére numérique. Pendant cette session la conversation était en relation avec la manière la plus efficace que ce but serait accompli.
Plus précisement, M. Lafaras a proposé une collaboration entre le domaine éducatif de l’ UE et les entreprises du domaine privé. Cette cooperation va pas seulement contribuer au progrès technologique des institutions de l’ UE mais aussi à la correspondance entre les élèves ainsi que les conditions réelles des entreprises qui leur donneraient les motifs appropriés afin de se préparer pour le marché du travail exigeant à l’avenir. À cause de cette propos la tension entre certains participants a été soudainement augmentée. À titre indicatif, Mme Liaropoulou a exprimé son opinion que l’éducation publique ne peut pas se comparer au domaine privée car chacun d’eux a des objectifs différents. L’éducation publique appartient à tout le monde lorsque le domaine privée s’adresse individuellement de son origine pour chacun, en exprimant des hésitations concernant le racisme dans les écoles. Par conséquent, les militants de cette collaboration ont été insultés et ont répondu qu’ils visent à l’égalité de tous les élèves de l’ UE et leur aide est commune.
Quand tous étaient tranquilles, les députés a commencé à discuter comment la digitalisation pourait resoudre le problème immense des élèves qui sont dyslexiques et qui on aussi des difficultés d’apprentissage. Il a été prouvé que les enfants qui ont des difficultés à apprendre à la manière traditionnelle comprendre plus avec le pouvoir de l’image. En outre, les applications oeuvent être créées en aidant les étudiantes d’une manière plus spécifique et dans différents domaines tels que les mathématiques et la langue de l’informatique.
Ά ce moment le comité doit trouver des solutions pour parvenir à la collaboration pratique entre le domaine éducatif et le domaine privé.
Translated by Romina Tzafou
