PREMIÈRE SÉANCE POUR ECOFIN : DES IDÉES RÉALISTES

Traduit par: E. Roussou

La première séance d’ECOFIN, tandis qu’elle a commencé à un rythme très lent, enfin elle est devenue très productive.

La première élection primaire avait pout thème l’avenir des négociations de TTIP. Pendant cette élection primaire et les suivantes, des différentes positions et idées ont été exprimées. L’Espagne et l’Italie ont exprimé la nécessité d’une politique plus conciliante, afin que l’accord soit bénéfique pour les deux parties. La Slovaquie et Chypre, aux côtés de la Suède, ont souligné la nécessité de transparence, pendant que la Slovénie principalement soit intéressée à CETA à raison de la position positive du gouvernement canadien. Le Royaume-Uni a proposé de rester intéressé à TTIP, afin de classer la position des États-Unis.

L’un des plus fervent soutiens des CETA et TTIP dès maintenant, l’Irlande, a déclaré : ¨l’Irlande est disponible de soutenir toute proposition promouvant surtout et principalement les intérêts de l’UE. Nous estimons que nous pourront négocier avec les États-Unis et le Canada sur la proposition suivante : tribunaux mixtes par l’UE (nationaux et ECJ) et l’autre contrepartie, où on pourrait promouvoir toutes questions importantes en ligne. ¨

L’Allemagne aussi déclaré :¨Les points de notre politique sont clairs : le maintien de l’environnement existant fiscal en procédant avec la ratification de l’accord de CETA, le réexamen des négociations potentielles avec le nouvel gouvernement des États-Unis, continuant le TTIP et la procédure de Brexit en respectant l’Article 50 du traité sur l’Union européenne. En tant que Ministre des Finances de l’Allemagne, je crois que tous les pays sont impatients d’être positifs envers nos déclarations, puisque nous sommes conscients de leur politique commerciale, et je suis sûr que nous pouvons parvenir à un consensus. Nous acceptons la déclaration du ministre de la Grande-Bretagne de se conformer aux règles de l’Union européenne jusqu’à ce qu’elle devient officielle. Il n’y a pas ¨le menu à la carte¨ pour chaque pays, et ça doit être clair. ¨

D’autre part, il y a ceux qui maintiennent une attitude critique, comme la Croatie et la Belgique. La Croatie surtout a exprimé ses craintes face au chômage et la Belgique a douté l’équilibre mutuel du TTIP en tant qu’accord. Comme le ministre de la Belgique a déclaré dans son discours : ¨Nous croyons qu’il est injuste qu’un gouvernement a été poursuivi en justice par une entreprise. Imaginez-vous, par exemple, que la Belgique soit poursuive par McDonalds? Ça vous paraît normal? Nous devons protéger nos citoyens. C’est pourquoi au début, nous avons des oppositions concernant l’accord de CETA. C’est pourquoi nous insistons pour que la Cour européenne de justice doive empêcher les entreprises de faire ce qu’ils veulent. ¨

Guest